Maman joyeux anniversaire ! Ce 5 Décembre..
Il y a ces jours qui permettent de se souvenir,
Les rires, les partages, toutes tes caresses,
Ton sourire espiègle, ton clin d'oeil à s'énorgueillir,
Ton éternel baiser sur le front avec tant de tendresse!
Les années peuvent passer mais tu es toujours là,
Dans ces moments sombres de mon existence,
Je te cause encore trop ou pas assez de tracas ?
Pour venir bercer mes nuits de ton audience,
Il fait si bon de te serrer avec force dans mes bras
Même si c'est l'oreiller que j'étreins, suis je folle ?
Il n'y a aucun doute, sans artifice, sans mascara
Notre dialogue sans fin, toi si digne de cette auréole,
Je me souviens de tout, qui oublie une telle Maman ?
Je chéris ce passé que tu m'as offert avec tant de courage,
L'horloge suit son cours mais il y a l'esprit d'antan,
Comme un bijou précieux tu m'as mis en cage !
Cette cellule qui me protégeait de ces dits passants,
Et puis, j'étais finalement bien trop la copie d'une image,
A trop vouloir me protéger sans y mettre de gants,
Maman j'ai loupé ma jeunesse à la borne du péage,
Je comprends ce que veut dire cette immense peur!
Mais, il faut laisser respirer, laisser vivre,
Cette méthode que j'applique avec une telle ferveur,
Malgré mes craintes à en écrire un éternel livre.
Je t'aime !
Lola
Il y a ces jours qui permettent de se souvenir,
Les rires, les partages, toutes tes caresses,
Ton sourire espiègle, ton clin d'oeil à s'énorgueillir,
Ton éternel baiser sur le front avec tant de tendresse!
Les années peuvent passer mais tu es toujours là,
Dans ces moments sombres de mon existence,
Je te cause encore trop ou pas assez de tracas ?
Pour venir bercer mes nuits de ton audience,
Il fait si bon de te serrer avec force dans mes bras
Même si c'est l'oreiller que j'étreins, suis je folle ?
Il n'y a aucun doute, sans artifice, sans mascara
Notre dialogue sans fin, toi si digne de cette auréole,
Je me souviens de tout, qui oublie une telle Maman ?
Je chéris ce passé que tu m'as offert avec tant de courage,
L'horloge suit son cours mais il y a l'esprit d'antan,
Comme un bijou précieux tu m'as mis en cage !
Cette cellule qui me protégeait de ces dits passants,
Et puis, j'étais finalement bien trop la copie d'une image,
A trop vouloir me protéger sans y mettre de gants,
Maman j'ai loupé ma jeunesse à la borne du péage,
Je comprends ce que veut dire cette immense peur!
Mais, il faut laisser respirer, laisser vivre,
Cette méthode que j'applique avec une telle ferveur,
Malgré mes craintes à en écrire un éternel livre.
Je t'aime !
Lola